Les éditos
Le Christ est vraiment ressuscité ! Alléluia
La fête de la Pâques est à nouveau à nos portes et aux portes de nos cœurs. Cet événement irreprésentable qui célèbre la passion, la mort et la résurrection du Christ, est le cœur de la foi chrétienne au point que Saint Paul écrira : « Si le Christ n’est pas ressuscité, notre foi est vide » ( 1Co15,14).
Dimanche des Rameaux et de la Passion
Le double titre de ce dimanche peut être notre guide sur le chemin de la GLOIRE.
GLOIRE : de Jésus dans son entrée triomphale dans Jérusalem. Les foules enthousiastes L’acclament, c’est la gloire.
Prenons le temps de penser à ces acclamations, nous les avons vues lors de célébrations civiles, il suffit de se souvenir du bus de l’équipe de France descendant les Champs Élysée sous les acclamations de la foule en liesse… Oui c’est la gloire de ce monde, la reconnaissance suprême de la population.
« Ite ad Joseph » (Allez à Joseph)
Chaque année le 19 mars nous célébrons Saint Joseph, époux de Marie. Cette année, la Célébration a revêtu un caractère particulier, car, elle s’inscrit dans la commémoration du 150e anniversaire de la proclamation de Saint Joseph comme patron de l’Église universelle. À cette occasion, le Pape François a annoncé, depuis le 8 décembre 2020, une année Saint Joseph qui se prolongera jusqu’au 8 décembre 2021.
Une Lumière née de la Lumière
Dans l’Evangile de ce dimanche, il est précisé que « Celui qui agit selon la vérité vient à la Lumière ». Pourquoi ? Parce que Dieu est Lumière. Et qu’en dehors de lui, il n’y en a pas d’autres sinon il y aurait deux lumières, ou donc deux dieux ! Ainsi, choisir Dieu c’est recevoir sur le chemin de sa vie une lumière qui va l’éclairer. Il n’y a plus qu’à se laisser guider.
Prendre soin
Dans notre marche vers Pâques, nous prenons comme boussole, en cette année pastorale, le synode de notre diocèse dont le thème est « Eglise de Dieu en Essonne, évangélise en prenant soin ». Ce thème est évocateur et doit nous conduire à soigner avec amour nos communautés ecclésiales et sociales, comme nous le dit l’évangile de ce dimanche : l’amour de ta maison fera mon tourment.
2ème Dimanche de Carême
Face aux occupations de la vie actuelle qui produisent beaucoup de stress, et font souvent perdre la sérénité, beaucoup se demandent comme le psalmiste : « Qui nous fera voir le bonheur ? » (Ps4, 7). Et même si, dans notre société actuelle, on travaille beaucoup pour une bonne qualité de vie et on lutte aussi pour améliorer le bien-être et la sécurité, le constat montre qu’il y a toujours une inquiétude générale et grandissante.
1er Dimanche de Carême
En ce temps de Synode… En ce temps de pandémie… C’est bien sous ce double regard que nous ouvrons le Carême. Temps de pandémie qui nous révèle la fragilité humaine, la complexité de faire des choix, de prendre des options dans un monde marqué par l’interdépendance des humains.
L’espérance, comme “eau vive”
L’espérance, comme “eau vive” qui nous permet de continuer notre chemin. La Samaritaine à qui Jésus demande à boire au bord du puits ne comprend pas lorsqu’il lui dit qu’il peut lui offrir une “eau vive” (Jn 4, 10). Au début, elle pense naturellement à l’eau matérielle. Mais Jésus parle de l’Esprit Saint qu’il offrira en abondance dans le Mystère pascal et qui nous remplira de l’espérance qui ne déçoit pas…
« Tout le monde te cherche » Marc 1, 38
En ce 5e dimanche du Temps ordinaire, nous entendons de l’Évangile selon saint Marc Jésus opérer des guérisons. Dès le chapitre 1, « la ville entière se presse » et « on amène à Jésus tous les malades ».
Il enseignait en homme qui a autorité
L’autorité (en grec ex-ousia, ex-estin : il est permis de, libre de) indique la maîtrise de la puissance possédée ou reçue, qu’elle soit juridique, politique, sociale ou universelle. La puissance (en grec dynamis) ajoute à l’autorité l’idée d’une force prête à s’exercer, d’une réserve de vie prête à jaillir.